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La Pensée visuelle en ébullition

S06-E04-Elodie DANIEL anime des apéro-Pictos depuis 5 ans en ligne et dans les lieux atypiques Rennais

Saison 6, Ep. 4

Elodie DANIEL

Facilitatrice et formatrice en pensée visuelle à Rennes, Elodie DANIEL a lancé, il y a 5 ans des apéro-pictos dans des endroits atypiques pour ouvrir une porte d’entrée à tous dans l’univers de la pensée visuelle.

Son site

« (L’Apéro-picto), C’est l’idée de sortir de la salle de réunion de formation, on est en soirée, on est présent l’espace reste ouvert à d’autres activités et cela peut amener de la curiosité à d’autres personnes « Ah c’est çà l’Apéro picto, je n’avais pas osé mais la prochaine fois je viendrai » Il y a cette ouverture qui est possible. »

« Au début chacun est avec sa petite feuille, dans son espace et petit à petit, on regarde chez les voisins, et on dénonce une superbe idée qu’on a vu chez les voisins. (…) on se dévoile aussi à travers l’autre, cela donne, peut-être, un peu de légitimité alors qu’on aurait essayé de cacher cela. »

« On peut partager ses représentations de chacun et se rendre compte qu’on a une vision très différente et c’est assez magique parfois l’effet que cela peut produire. » « On sort des représentations plus conventionnelles et chercher quelque chose de plus sensible, de plus personnel : une image, une expression, une expérience. »


« (Pour les pictos), je préconise en premier la simplicité, le minimum pour qu’on puisse clarifier et reconnaître la représentation » « Si on n’a plus beaucoup d’encre et qu’on a un message à porter, comment on peut économiser aussi cette encre ? »

« J’ai déjà tester autres formes :   le p’tit déj-pictos dans  un espace de co-working, le goûter picto dans une médiathèque, (…) selon les opportunités j’aime bien changer de lieux, j’ai testé aussi l’été dernier une balada-picto en nature, de pouvoir s’arrêter, dessiner et discuter. (…) profiter d’être à l’extérieur pour regarder le paysage les éléments qui nous entourent et ensuite le simplifier pour ne pas être dans le cours de dessin. Le risque c’est de vouloir reproduire tous les détails et se dire « oh on est trop nul » Il s’agit de prendre les éléments principaux et de simplifier. »

(Cela permet de montrer que pictos) ont un poids, du sens. Que ce n’est juste un bidouillage parce qu’on arrive pas à se concentrer, et ce n’est pas réserver aux enfants. Ce n’est pas une activité que de loisirs, on peut dire des choses, porter des messages importants en dessinant et en cherchant une représentation visuelle ».

« (Cela permet) de discuter de  nos représentations, de voir d’où elles viennent. » et de ce dire qu’une fois qu’on l’a dessiné, on est plus clair sur ce qu’on pense et ce qu’on croit savoir à l’intérieur. »

« Je pense que le picto est une porte rassurante pour débuter, commencer à visualiser un élément … commencer par des choses simples et de réussir ensuite à les coordonner, les articuler entre eux pour créer quelque chose de plus global.» « Mais c’est bien d’avoir l’alphabet, comme dans une langue, pour ensuite faire des phrases. »


« La nature, c’est vraiment un espace d’inspiration pour moi, les magazines d’art, l’architecture, les constructions, les objets, le design, la cuisine, la matière, les textiles, toutes formes de matière »

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  • 5.5. S06-Questions-des-auditeurs-E05- Pierre à Mascron en Belgique

    06:32||Saison 6, Ep. 5.5
    1 semaine sur 2, Eric SIMON, facilitateur graphique et formateur en pensée visuelle depuis plus de 15 ans, répond à vos questions.Un format court qui donne quelques éclairages et éléments de réponse.Aujourd'hui, Il répond aux questions de Pierre à Mascron en Belgique."Quelle est la posture pour écouter et retranscrire une conférence en scribing Live ?"Vous avez envie de poser vos questions afin d'obtenir des réponses dans un prochain épisode ?C'est par ici que cela se passe ...Posez vos questions ici !Plus d'informations sur www.esimon-visuel.com/podcastDiffusion chaque samediavec en alternance:un interview avec un praticien professionnel ou amateur de la pensée visuelle au sens largeun épisode qui répond à une des questions posées par un auditeur.Si ce podcast vous a plus, n'hésitez pas à laisser un commentaire sur les plateformes et à le partager au sein de vos réseaux.
  • 5. S06-E05-Tiphaine BOISDEVEIX, facilitatrice graphique a inventé le massage dessiné !

    29:18||Saison 6, Ep. 5
    Tiphaine BOSDEVEIXConseillère en organisation avec un ADN d’innovation, facilitatrice graphique depuis plus de 15 ans et dessinatrice de l’UNvisible, Tiphaine Bosdeveix utilise le visuel pour mettre en miroir ce qu’elle entend, perçoit de l’autre, au delà du visible. Sa pratique originale (massage dessiné, exploration artistique…) permet de restituer à l’UN (et aux autres quand il s’agit d’un groupe) la résonance de l’invisible, des maux et mots du corps. Après avoir développé la rigueur cartésienne répondant à l’adage « je ne crois que ce que je vois » et avoir utilisé un sketchnote plus classique, plus textuel, Tiphaine explore l’autre polarité « on ne voit bien qu’avec le cœur, l’essentiel est invisible pour les yeux» au travers d’un dessin symbolique, qui offre des outils de compréhension et de conscience de soi.Aujourd'hui, facilitatrice graphique dans la fonction publique et naturopathe, en indépendante, avec une proposition originale de massage dessinée.Au fil des années, Tiphaine a su combiner ces différentes capacités de façon très originale et fluide. Elle exploite la résonance, les intuitions pour proposer un miroir visuel dans des contextes très divers.Venez découvrir la force du massage dessiné !Son compte Instagram : @tiphainebosdeveix« J’ai combiné cette capacité, comme tous les facilitateurs graphiques, à synthétiser, à donner un miroir visuel à l’autre avec mon intention mon ressenti, pour pouvoir, après avoir massé une personne, faire un retour visuel de ce qu’il s’est passé. »« Quand je masse une personne, il y a un effet de résonnance sur les douleurs de l’autre, sur les blocages, il y a des résonances en termes de sensations, de mots ou d’images »« Cela permet la production d’un dessin vraiment symbolique » Cela parle bcp à la personne qui a été massée. (…) cela ne laisse jamais indifférent »« Cet invisible, le corps le sait, il le manifeste de différentes manières, soit par des manifestations purement physique, soit par des manifestations plus subtiles »« Il s’agit lors de l’entretien de partager des ressentis, des symboliques pour voir si cela fait sens pour la personne. »« En facilitation graphique, il y a aussi une résonnance de l’énergie des autres dans nos dessins… J’avais déjà cette pratique, mes propres ressentis dans mes pris de note plus classiques. Ensuite j’ai suivi un cursus de formation en Naturopathie, …avec des apprentissages autour des massages qui font partie des pratiques naturopathiques et lors de la prise de notes, elle s’est fait derrière en images pour moi et naturellement, elle a pris une place de plus en plus symbolique autour du ressenti, des intuitions en plus des éléments physiques»« Ma formation en psychopédagogie m’a permis de comprendre pourquoi j’avais autant besoin de cet outil de miroir visuel. .. j’ai compris sur le tard comment je fonctionnai et pourquoi j’avais tant besoin de ma reformulation visuelle. »Les points communs entre la facilitation graphique et les massages dessinés ? « la présence qui est très forte quand on facilite graphiquement, quand on réalise un soin pour l’autre, sa connexion à son intuition aussi … de lâcher prise… de faire confiance à son intuition. »Plus d'infos sur www;esimon-visuel.com
  • 4.5. S06-Questions-des-auditeurs-E04-Anne à Mulhouse

    05:24||Saison 6, Ep. 4.5
    1 semaine sur 2, Eric SIMON, facilitateur graphique et formateur en pensée visuelle depuis plus de 15 ans, répond à vos questions.Un format court qui donne quelques éclairages et éléments de réponse.Aujourd'hui, Il répond aux questions d'Anne à Mulhouse."Est-ce que la pensée visuelle peut s'adapter à tous les domaines et à toute les modalités de travail en équipe?"Vous avez envie de poser vos questions afin d'obtenir des réponses dans un prochain épisode ?C'est par ici que cela se passe ...Posez vos questions ici !Plus d'informations sur www.esimon-visuel.com/podcastDiffusion chaque samediavec en alternance:un interview avec un praticien professionnel ou amateur de la pensée visuelle au sens largeun épisode qui répond à une des questions posées par un auditeur.Si ce podcast vous a plus, n'hésitez pas à laisser un commentaire sur les plateformes et à le partager au sein de vos réseaux.
  • 3.5. S06-Questions-des-auditeurs-E03- Claire à Hastringues

    09:26||Saison 6, Ep. 3.5
    1 semaine sur 2, Eric SIMON, facilitateur graphique et formateur en pensée visuelle depuis plus de 15 ans, répond à vos questions.Un format court qui donne quelques éclairages et éléments de réponse.Aujourd'hui, Il répond aux questions de Claire à Hastringues, en Nouvelle-Aquitaine.1°) Comment professionnaliser son activité dans la facilitation graphique ?2°) Comment répondre à une commande ?Vous avez envie de poser vos questions afin d'obtenir des réponses dans un prochain épisode ?C'est par ici que cela se passe ...Posez vos questions ici !Plus d'informations sur www.esimon-visuel.com/podcastDiffusion chaque samediavec en alternance:un interview avec un praticien professionnel ou amateur de la pensée visuelle au sens largeun épisode qui répond à une des questions posées par un auditeur.Si ce podcast vous a plus, n'hésitez pas à laisser un commentaire sur les plateformes et à le partager au sein de vos réseaux.
  • 3. S06-E03-Nicolas VERDOT, le fondateur des Décoincés du crayon

    35:33||Saison 6, Ep. 3
    Nicolas VERDOT, fondateur des « Décoincés du crayon » et créateur du sommet du visuel depuis 5 ans. Après avoir un parcours de consultant en agilité, Nicolas accompagne aujourd’hui, de nombreux acteurs de la formation et de l’accompagnement à développer leurs compétences visuelles.Son SiteSi vous souhaitez vivre le sommet du visuel, c’est par ici.« Je me souviens de la première fois où j’ai pris une feuille de paper-board et que j’ai commencé à dessiner un bateau … et les personnes qui passaient dans le couloir qui me regardaient et qui me disaient « Tu fais quoi, tu n’es pas payé à dessiner ! » « J’ai eu la chance d’avoir un manager qui m’a invité à explorer d’autres façons de faire. »« D’une réunion traditionnelle, où on serait certainement aller à la confrontation car on partageait pas les mêmes idées, avec des outils simples et visuels, on a pu mettre à plat les idées (…)« Tout est une question de sens. Pourquoi on a besoin d’eux ? Qu’est-ce qu’on attend d’eux ? Qu-est-ce qu’on va faire ? » « Ensuite, c’est de poser un cadre sécurisé et prévenir qu’on va utiliser des techniques différentes de celles qu’on a l’habitude d’utiliser. »« Tu ne les surprends pas avec quelque chose d’enfantin mais avec quelque chose qui les surprend et qui fait sens. » « Si tu partages ton intention, l’équipe va comprendre pourquoi tu le fais. »« Le titre « Décoincés du crayon » ce n’est pas moi qui l’ait inventé c’est une personne qui me la soufflé à la fin de la formation, (…) avec cette envie de faire passer le pas (…) On ne cherche pas à faire de l’art, on cherche à donner à voir. » « Dès que tu commences à mettre de la sécurité dans la pratique, les gens se déverrouillent très rapidement et ils se rendent compte très vite qu’ils sont, eux aussi, capable de mettre du visuel dans leurs pratiques personnelles et professionnelles. »« La plupart des personnes en formation se rendent compte que cela ne passe pas uniquement par le fait de recopier des pictogrammes, cela passe par une posture corporelle. Cela passe par une mise en sécurité du corps pour que ton cerveau soit à même d’apprendre. »« Interdiction de gribouiller sur l’école, dans les cahiers, ce n’était pas correct, ce n’était pas bien. »« (A l’école), j’avais beaucoup de mal à lire quelque chose de vertical, avec beaucoup de textes, j’avais besoin de mettre des images, de me faire une présentation plus sympa, plus visuelle, pour pouvoir apprendre. »« S’il y a un point commun que je repère dans les différents métiers (qui utilisent la pensée visuelle), c’est la volonté de prendre du plaisir au travail et dans les échanges qu’on peut avoir les uns avec les autres. »« Un des sujets qui m’a fait rêver, c’était une intervention d’Etienne Appert où il faisait découvrir, comment en se baladant dans des musées de peinture, on pouvait s’inspirer pour créer des métaphores et modéliser de l’information sur des planches. »« Quand tu es facilitateur graphique, tu as besoin d’être connecté à to : qu’est-ce que tu ressens ? Comment le groupe se sent ? Qu’est-ce qui est en train de se passer ? Quelles émotions ressortent ? (…) Sentir le flow, pas juste le voir, le ressentir. Et pour le ressentir, il faut être connecté à soi » « Ce n’est pas que écouter, trier de l’information et la représenter, c’est aller chercher finalement l’essence de l’énergie de ce qu’il se passe dans le groupe. »
  • 2.5. S06-Questions-des-auditeurs-E02-Raynald à Caën

    08:29||Saison 6, Ep. 2.5
    1 semaine sur 2, Eric SIMON, facilitateur graphique et formateur en pensée visuelle depuis plus de 15 ans, répond à vos questions.Un format court qui donne quelques éclairages et éléments de réponse.Aujourd'hui, Il répond aux questions de Raynald à Caën."Comment rendre son sketchnote impactant ?"Vous avez envie de poser vos questions afin d'obtenir des réponses dans un prochain épisode ?C'est par ici que cela se passe ...Posez vos questions ici !Plus d'informations sur www.esimon-visuel.com/podcastDiffusion chaque samediavec en alternance:un interview avec un praticien professionnel ou amateur de la pensée visuelle au sens largeun épisode qui répond à une des questions posées par un auditeur.Si ce podcast vous a plus, n'hésitez pas à laisser un commentaire sur les plateformes et à le partager au sein de vos réseaux.
  • 2. S06-E02-Nicolas GROS auteur du grand livre de la Facilitation graphique

    47:21||Saison 6, Ep. 2
    Nicolas GrosFacilitateur graphique depuis plus de 20 ans et formateur.Auteur d'un ouvrage intitulé "Le Grand livre de la facilitation graphique"Son siteVoici quelques extraits du podcast :« Dans le style graphique, je ne pense pas avoir tant évolué que cela par contre j’ai eu des va y vient entre deux pôles extrêmes entre pas de dessins et trop de dessins« Il y a beaucoup de choses qui se passe autour du visuel et on en fait tout un plat alors que le sujet n’est pas le visuel mais l’impact qu’à le visuel sur la pensée, sur un groupe ; Et c’est cet impact qu’on va chercher à travailler, à créer, à mitiger, à gérer, c’est cela la facilitation, sinon c’est juste du graphisme ou de l’illustration»« Ce que tu produis en doit pas être le visuel mais l’impact qu’aura le visuel sur le groupe »« il me parait important de distinguer ce qui est du moyen, de l’objectif, de la méthode »« C’est non pas l’effet Ouahhou mais Ah Ouais ! au sens ah ok maintenant j’ai compris»« Je préfère rendre le sujet palpable, tangible, compréhensible, accessible pour que les gens puissent s’en saisir et qu’il le voit d’une façon qui les aide à avancer dans leurs compréhensions. Cela ne parle pas de sa qualité esthétique mais de sa qualité de sens »« Je préfère un croquis tout pourri qui dénoue une discussion qu’un très joli dessin qui tue une idée. »« (Au niveau de l’écoute lors d’une transcription visuelle d’une discussion en temps réel), entre le tout début et maintenant, c’est le jour et la nuit ! Avant je ne savais pas ce qu’il fallait écouter, on m’avait rien dit. (…) Depuis, plusieurs choses ont évolué, d’abord la préparation de mon écoute. La discussion prend corps dans une poupée russe de contexte. Si tu n’as pas analysé ces contextes en amont, il te manque des clés de lecture pour comprendre ce qui est en train de se passer. « « C’est comme si on calibrait son écoute grâce aux informations analysées que tu vas récolter avant , non pas ce que l’on va se dire mais pourquoi nous allons avoir cette discussion»« Tiens quand j’entends quelque chose, quel sens cela peut avoir ? Quelle importance ?« Si la discussion tourne en rond ou se répète, … le fait de ne pas capturer a aussi un impact sur leur discussion. »« Le numérique, c’est moins ma tasse de thé, même si je travaille aussi avec ces outil, parce que ce n’est pas la même posture physique, on n’a pas le même rapport aux personnes, on n’est pas dans la même ambiance, le même type d’engagement. Après il y a des situations qui nécessitent que cela soit digital.» Avec le digital, il y souvent qu’un écran, on retrouve un canal linéaire où la cartographie disparait au profit d’une nouvelle. … Le support physique reste pour moi quelque chose d’incomparable »« la croyance fondamentale, c’est qu’il faut savoir dessiner. Pourquoi ? Parce que le visuel est prégnant, il est physique, il est visible. Donc, il prend une place, donc on a l’impression que c’est tout un sujet. Alors que lorsque regarde techniquement ce qu’il est nécessaire de réaliser graphiquement, il n’y a pas vraiment grand-chose, c’est très accessible. Tout l’enjeu est autre part, dans la posture, dans la sélection des informations, dans la compréhension des liens qu’on peut tisser. »
  • 2. S06-Questions-des-auditeurs-E01-Marie à Brest

    09:26||Saison 6, Ep. 2
    1 semaine sur 2, Eric SIMON, facilitateur graphique et formateur en pensée visuelle depuis plus de 15 ans, répond à vos questions.Un format court qui donne quelques éclairages et éléments de réponse.Aujourd'hui, Il répond aux questions de Marie à Brest.1°) Comment faire quand on ne sait pas dessiner ? 2°) Quand les cartes mentales ne sont pas notre entrée préférée ? 3°) Comment organiser ses idées rapidement ?Vous avez envie de poser vos questions afin d'obtenir des réponses dans un prochain épisode ?C'est par ici que cela se passe ...Posez vos questions ici !Plus d'informations sur www.esimon-visuel.com/podcastDiffusion chaque samediavec en alternance:un interview avec un praticien professionnel ou amateur de la pensée visuelle au sens largeun épisode qui répond à une des questions posées par un auditeur.Si ce podcast vous a plus, n'hésitez pas à laisser un commentaire sur les plateformes et à le partager au sein de vos réseaux.